LA PRESSE EN PARLE 

-C’est à la fois à un tour de chant et à une comédie, parfois avec des moments sombres, où l’on est convié...des standards de Broadway, des classiques de la chanson française et d’autres airs rares et méconnus, c’est par ce répertoire que le spectacle bien mené et interprété, enthousiasme (Sylvain Siclier. Le Monde)

- Un beau voyage musical dans le temps... on salue la performance des deux comédiennes chanteuses qui changent de personnage et de siècle avec l’idée de montrer comment le monde aujourd’hui trouve une résonance avec les années folles (Thierry Lebon.TSF Jazz)

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-"#Années folles" évoque le registre musical de l'exubérante décennie culturelle coincée entre les deux guerres mondiales du 20ème siècle....les deux comédiennes chanteuses font la paire au jeu comme au chant, endossant les rôles de la pétillante blonde futile et de l'interlope garçonne brune. (MM. Froggy’s delight.)

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 -Le duo est très complémentaire et déborde d’énergie et de complicité, évoque le mouvement dada, le charleston, l’arrivée du cinéma parlant, le jazz, le surréalisme ou encore le krach boursier. Un aller-retour entre hier et aujourd’hui pour (re)découvrir gaiement l’ambiance musicale et plus généralement culturelle de l’époque. (Ivanne Galant. Reg’Arts.)

- Un spectacle de qualité intelligent divertissant : c’est frais enjoué, coquin, et ça permet de découvrir tout le répertoire de l’époque. Les deux comédiennes chanteuses sont capables d’interpréter aussi bien le music- hall que Poulenc et le jazz  (André Malamut. Radio soleil)

-Dans cette pétillante fantaisie (qui est aussi une fresque culturelle et historique) les deux partenaires déroulent le film de ces années folles de rage de vivre, d‘émancipation... les années folles, c’est Cocteau, le Boeuf sur le toit, Joséphine Baker, Picasso, c’est Cole Porter et Poulenc, des lendemains de guerre et la veille d’un cauchemar, autant de raisons de rire et de chanter, la vie… (N. Gabriel. Le doigt dans l’oeil)

-S’enivrer ou s’engager ? Telle est la question… on est frappé par la similitude entre cette époque, coincée entre deux guerres mais où l’on avait foi dans tout ce qui était nouveau, et la nôtre. Nul ne sait ce que les générations futures retiendront de notre décennie; les Années Folles, elles, ont su cultiver un esprit de fête qui restera leur signature à tout jamais… (Asha Meralli, Brotherswing)

Années folles : insouciance et frivolité, la drôle de fête des drôles d’années joyeusement mise en scène...avec leurs voix chaleureuses et émouvantes, leur jeu plein de finesse, Anne Cadilhac et Juliette Pradelle offrent un vrai moment de plaisir, comme une parenthèse bienvenue dans le quotidien grisâtre.(Sylvie Gagnère - Lagrandeparade.fr)

iINTERVIEW TSF JAZZ